Anaïs Favron présente sa nouvelle émission trépidante

Marie-Hélène Goulet

2021-09-18T20:49:59Z

L’énergique Anaïs Favron nous entraîne dans un voyage gorgé d’adrénaline avec La course aux vacances. La compétition, tournée dans 10 régions de la province, met en scène 12 duos qui doivent relever des défis hors du commun s’ils veulent mettre la main sur le grand prix de 20 000 $!

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Anaïs, quel est le concept de La course aux vacances?
Dans chaque épisode, deux tandems s’affrontent au cours de quatre défis dans des lieux différents d’une région québécoise. Les défis mettent à l’épreuve les capacités physiques et intellectuelles des participants. Par exemple, ils peuvent disputer une course cycliste durant laquelle ils doivent aussi récupérer des indices pour trouver une réponse au point d’arrivée. Les épisodes se terminent par un grand jeu questionnaire sur la région visitée.

Couronnez-vous un duo gagnant à la fin de la saison?
Durant les six épisodes du premier round, 12 tandems s’affrontent, et les gagnants passent au deuxième round. Les trois duos victorieux de cette deuxième étape se rencontrent en finale.

Qu’est-ce qui vous a convaincue d’animer l’émission?
Ça fait longtemps que j’ai envie d’animer un jeu télévisé avec du «vrai monde». Ces dernières années, je me suis tannée de voir des vedettes invitées partout, surtout que, grâce aux réseaux sociaux, on connaît déjà leur actualité. Je trouve que les gens du public qui participent à ce genre de défis ont un plaisir évident à être là, et j’avais envie d’y être avec eux. L’offre d’animer La course aux vacances ne pouvait donc pas mieux tomber, d’autant plus que l’émission combine deux autres de mes passions, les défis sportifs et la promotion du Québec et de ses régions.

Comment décririez-vous un bon duo de La course aux vacances?
Les meilleures équipes sont composées de gens polyvalents, non seulement actifs, mais aussi intelligents. Nous avons eu toutes sortes de tandems, de tous âges et issus de toutes les régions: des amoureux, des colocataires, des frères et sœurs, des duos mère-fille et père-fille... du bien beau monde! Pourquoi les téléspectateurs vont-ils s’attacher aux duos de participants, selon vous? Parce que ceux-ci deviennent toujours vulnérables à un moment ou à un autre de la compétition. Ils commencent fort, car ce sont de grands sportifs, mais ils craquent en chemin. Il va y avoir des larmes, des petites chicanes, des déceptions, mais aussi de beaux moments. Il y a plusieurs couples où les amoureux sont entièrement là l’un pour l’autre. On ne peut pas s’empêcher de souhaiter être comme eux en vieillissant.

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Pensez-vous que vous seriez une bonne participante?
J’adorerais participer à l’émission avec mon chum; c’est tout à fait notre genre de défi! Comme nous avons des forces complémentaires et que nous sommes capables de nous parler, je pense que nous serions bons.

Avez-vous pu relever quelques défis?
J’ai fait un peu de golf, mais, à cause des mesures sanitaires, c’était compliqué d’essayer les activités. Je ne pouvais pas toucher à un vélo utilisé par un participant, par exemple. Tourner à l’extérieur c’est accepter de composer avec les intempéries.

Avez-vous essuyé plusieurs jours de mauvais temps?
La vérité vraie, c’est qu’il a plu seulement deux fois durant tout le tournage. Une de ces fois est néanmoins mémorable. Nous étions en train de tourner une épreuve de vélo de montagne dans des sentiers de terre et une pluie diluvienne est tombée. Ça n’a duré que quelques minutes, mais nous avions tous l’air d’avoir reçu un seau d’eau sur la tête. J’ai bien hâte de voir ce moment cocasse à l’antenne! Nous avons aussi attrapé quelques coups de soleil et nous nous sommes fait dévorer par les bibittes durant les premiers épisodes.

Des participants se sont-ils blessés au cours des défis?
Ç’a été le festival des éraflures, mais il n’y a eu aucun blessé grave. Quand je voyais les concurrents courir sur des galets humides ou descendre une montagne en courant, j’étais certaine que quelqu’un se tordrait la cheville, mais non! Je ne devrais toutefois pas être si sûre de moi, car la finale n’est pas encore tournée... (rires)

Dès mercredi le 29 septembre à 21 h, à Évasion.

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