Claudette Dion nous donne des nouvelles de la famille

Claudette Dion poursuit ses bonnes actions. Rencontrée au lancement d’une campagne venant en aide à des familles dans le besoin, elle nous a livré les plus récentes nouvelles concernant les différents membres de son clan.

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D'abord, Claudette, comment la Fondation Maman Dion, dont vous êtes la directrice générale, en est-elle venue à s’impliquer auprès du Regroupement Partage, dans le cadre de l’Opération Sac à dos?
Ces deux fondations ont, à certains égards, la même mission. Dans le cadre de cette opération, il s’agit d’aider au moins 7000 enfants de familles qui sont dans le besoin, à l’occasion de la rentrée scolaire. Par l’entremise de ma fondation, j’ai reçu en cadeau 30 000 articles d’une entreprise qui fermait ses portes: des cahiers, des crayons, des cartables, etc. J’en ai donné autour de moi, c’est-à-dire à des écoles, et j’ai décidé d’en donner 20 000 au Regroupement Partage.     

Vous êtes aujourd’hui en compagnie de Jérémie, 10 ans, l’un de vos petits-enfants, et de Serge, votre mari. Depuis combien d’années êtes-vous ensemble?
Trente-deux ans! Et nous sommes mariés depuis 22 ans. Serge a pris sa retraite l’an dernier. Il me suit, il m’aide. À la blague, il dit toujours qu’il est «le chauffeur de Madame»! (sourire) Nous partageons les travaux ménagers, nous avons une très belle complicité. Ce gars-là, il était fait pour moi: il aime tout ce que je fais! Il est mon époux, mon amoureux, mon bras droit, et les enfants l’adorent.

Comment se portent les membres de votre famille?
Si je débute par Denise, l’aînée, elle a l’habitude de passer six mois par année en Floride. Elle veut vendre la maison qu’elle partageait avec notre mère. Trop de souvenirs l’habitent... Elle trouve ça dur. Maman est décédée, et Yvon, son mari, aussi. Il est mort des suites d’une crise cardiaque, en jouant au golf, au club Mirage! On y a planté un arbre en sa mémoire. Denise veut s’acheter une autre maison, peut-être à la campagne, pas trop loin de ses enfants.

Qui suit au niveau du rang familial?
Clément. Il est maintenant retraité. Il travaillait dans le domaine de la construction et il veillait aussi à l’entretien des différentes propriétés de Céline et René. Il supervisait les travaux quand ils s’avéraient nécessaires. Après, c’est moi. (sourire)

Pouvez-vous rappeler combien d’enfants vous avez eus?
Deux filles et deux garçons. Sébastien a six enfants, Steeve a un garçon, Cathy a trois garçons et Célia, trois enfants. Ces beaux enfants-là m’ont donné 12 petits-enfants, qui sont âgés de 2 à 19 ans.      

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Des enfants et des petits-enfants que vous chouchoutez passablement!
Oui. Aujourd’hui, je garde Jérémie. Plus tard cette semaine, je vais garder les enfants de Célia à peu près une journée. J’adore ces moments passés en leur compagnie. Ça me nourrit. Je popote avant qu’ils arrivent à la maison parce que je veux leur consacrer tout mon temps. Puis il y a une belle histoire concernant Thomas, le fils de 19 ans de Cathy, mon aînée. 

Quelle est-elle?
Thomas est monteur de lignes et, par un pur hasard, il se retrouve à étudier et à travailler à Sainte-Anne-des-Monts, où ma mère est née. Il découvre donc avec très grand plaisir l’histoire de son arrière-grand-mère et des Tanguay en général. Je lui ai envoyé des photos et un plan de la localité. Il s’y est promené. La maison d’enfance de ma mère n’existe plus, mais celle de ma tante Jeanne, oui. Thomas capote! Il y a aussi le lac Tanguay, nommé en l’honneur de mon grand-père, Achille. Thomas en est fier. 

Après vous, dans votre grande fratrie suit votre sœur Liette, qui travaille elle aussi à la Fondation Maman Dion...
Exactement. Elle habite tout près de la fondation. Après Liette, c’est Michel qui, pendant des années, a travaillé au sein de l’équipe de Céline. Il est désormais retraité et il est de retour au Québec. Puis il y a Louise, Jacques et Daniel, qui est décédé des suites d’un cancer. Suivent Ghislaine, qui est en rémission de deux cancers, Linda, qui est toujours auprès de Céline, Manon et les jumeaux Paul et Pauline. Pauline est propriétaire de trois restaurants Dic Ann’s. 

Puis il y a la petite dernière de votre famille! Elle présentera un nouveau spectacle à Las Vegas dès le 5 novembre, n’est-ce pas?
Exactement. Malheureusement, Céline et moi, nous n’avons pas pu nous voir ces derniers mois. Elle est de retour à Las Vegas depuis le début du mois, et elle vit dans une nouvelle maison qu’elle s’est fait construire.

Songez-vous à aller la visiter?
Je me croise les doigts. (sourire) Mais je vais avoir un horaire chargé avec de nouveaux projets musicaux dont je vous parlerai quand je le pourrai.

Côté projets musicaux, René-Charles, l’aîné de Céline, a non seulement eu 20 ans en janvier dernier, mais il a lancé Casino.5, un EP, au cours du même mois.
Déjà enfant, il avait cette fibre-là en lui, il écrivait des chansons. Le rap? Je ne vous dirai pas que j’en achète régulièrement. Mais quand c’est beau et que c’est bien fait, je capote. Il est très bon aussi au baseball et au golf. Ses gestes sont précis, il est très performant.

Quel âge les jumeaux de Céline ont-ils?
Dix ans. Le même âge que Jérémie. Eux-mêmes, tout jeunes, ils jouaient déjà du piano.

Pour plus d’informations concernant l’Opération Sac à dos et faire un don: operationsacados.ca et regroupementpartage.org.

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