Georges Pothier se confie sur sa nouvelle vie de grand-papa

Photo : Dominic Gouin

Michèle Lemieux

2020-10-20T19:06:33Z

Le bonheur a un joli prénom pour Georges Pothier: Adèle. Son premier petit-enfant, né en juillet 2018, remplit de joie le lecteur de nouvelles de Salut Bonjour, qui apprivoise l’un des plus beaux rôles qui soient et qui, de toute évidence, lui sied à merveille...

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Monsieur Pothier, depuis la rentrée, vous avez repris votre poste à Salut Bonjour...
Oui, j’ai repris mes fonctions de présentateur, de lecteur de nouvelles à l’émission avec Gino (Chouinard) et, occasionnellement, avec Ève-Marie (Lortie). Mine de rien, en incluant les deux années à Québec, j’en suis à ma huitième année à Salut Bonjour. Chaque saison, c’est un plaisir renouvelé. Les gens nous rendent tellement d’affection et de bonheur lorsque nous les croisons! Nous avons un contact incroyable avec eux. 

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Malgré le temps qui passe, est-ce que vous composez toujours bien avec cet horaire atypique?
C’est vrai que c’est atypique. Je me lève très tôt, à 2 h 20... L’horaire est exigeant, mais la passion est toujours au rendez-vous. C’est ça la magie: nous sommes tellement contents d’aller au travail que nous n’avons pas de mal à nous réveiller. 

Par ailleurs, vous êtes grand-père depuis deux ans. Comment voyez-vous ce rôle?
Tous les grands-parents vous le diront: nos petits-enfants sont des merveilles! J’ai deux enfants, Charles-Antoine et Laurence, et Adèle est l’enfant de ma fille. La petite a eu deux ans le 6 juillet. C’est le premier petit-enfant dans notre famille, et le seul jusqu’à maintenant. Son arrivée m’a fait réaliser beaucoup de choses... Ma femme s’est préparée avec hâte à ce bel événement: elle vivait tous les instants de la grossesse de notre fille, je dirais beaucoup plus que moi. De mon côté, j’avais l’impression que devenir grand-père allait me donner un coup de vieux... Ça me tracassait un peu. Finalement, j’ai compris que ce n’était pas le cas et que, même si c’était vrai, ce ne serait tellement pas important! Quand Adèle est arrivée, cette appréhension a disparu. 

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Photo : Dominic Gouin
Photo : Dominic Gouin



Êtes-vous devenu un grand-papa gâteau?
Ma femme et moi sommes complètement gagas! J’adore ce lien! C’est rempli d’amour et de bonheur. Dès que nous en avons l’occasion, nous gardons notre petite-fille. Adèle dort souvent à la maison et elle aime ça. Comme elle nous a beaucoup vus depuis sa naissance, elle est toujours heureuse d’être chez papi et mamie. Puis j’aime penser que ça aide nos enfants. Avoir une soirée de répit sans se soucier de trouver une gardienne, ça fait l’affaire des parents... et des grands-parents! Quand mes enfants étaient petits, j’aimais leur lire une histoire en les mettant au lit. Adèle va me permettre de revivre ça. C’est déjà commencé. C’est un des plus beaux cadeaux de la vie! 

Décrivez-nous Adèle...
Elle s’adapte à tout, elle est drôle, elle fait des blagues. Elle parle de plus en plus. Je ne la comprends pas toujours, mais chaque semaine, c’est de plus en plus clair et précis. Ce n’est plus un bébé: c’est une petite fille. On pressent déjà ce qu’elle deviendra plus tard. On dit souvent que le rôle des grands-parents est agréable, parce que nous n’avons que les bons côtés, et c’est vrai. Nous n’avons pas à élever nos petits-enfants ou à nous soucier de la discipline.

Est-elle entrée dans la période du terrible two?
Effectivement, nous sommes dans la phase du non, mais jusqu’à présent, ça se passe bien... Cet été, nous l’avons senti très clairement: elle disait toujours non. Quelques mois plus tard, les choses se sont équilibrées. 

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Adèle a dû vous manquer pendant le confinement.
Pendant cette période, nous avons été plusieurs semaines à utiliser Zoom et FaceTime pour garder le contact. À partir du moment où nous avons recommencé à nous réunir en famille, nous avons rattrapé le temps perdu. Encore aujourd’hui, nous prenons des nouvelles tous les jours. 

Collection personnelle
Collection personnelle


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Votre petite-fille peut compter sur un grand-papa en forme...
C’est gentil! (sourire) Il faut dire que l’image du grand-père qui se berce avec sa pipe est révolue. Les gens se tiennent en forme, font du sport, des activités de plein air. La saison de ski est à nos portes. J’ai hâte d’initier Adèle au ski, mais je crois que deux ans, c’est un peu jeune... Cet été, elle a bien profité de la piscine.

Qu’est-ce que son arrivée a changé dans votre vie?
Ça l’améliore. Ça me rapproche de certaines choses que j’avais tendance à tenir pour acquises. Avoir cette petite dans ma vie me permet de redécouvrir plein de choses. La première fois que nous irons au zoo et au musée, 30 ans après l’avoir fait avec mes enfants, ça sera nouveau. Lorsque nous marchons ensemble, elle ramasse des brindilles ou des petits bouts de bois au nombre de trois. Elle crée toujours des familles: un papa, une maman, un enfant. C’est charmant! 

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Et votre conjointe, comment se porte-t-elle?
Lucie était enseignante au préscolaire et au primaire. Elle a pris sa retraite l’année dernière. Elle a tout son temps et sa compétence de professeure. Elle est devenue une spécialiste des jeux éducatifs. Nous avons des casse-têtes, des jeux et des livres pour plusieurs années d’avance! La pédagogue en elle s’exprime! Pour elle, non seulement Adèle est une merveille, mais aussi une élève perpétuelle! (rires) À deux ans, Adèle est une championne des casse-têtes. Elle est très méthodique: tant qu’elle n’a pas réussi, elle ne lâche pas. 

Georges Pothier présente les nouvelles à Salut Bonjour, en semaine, dès 6 h, sur le Réseau TVA.

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