Josée di Stasio revient sur son passage à MasterChef Québec

Marjolaine Simard

2024-01-19T17:07:01Z

Cette deuxième semaine de compétition marquait le grand départ pour les 16 candidats retenus. À cette occasion, Martin Picard et Stefano Faita recevaient leur premier juge invité de la saison: Josée di Stasio. L’ex-animatrice d’À la di Stasio s’ouvre sur ces moments inoubliables qui ont suscité leur lot d’émotions sur le plateau de MasterChef Québec.

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Le passage de Josée di Stasio, une grande dame qui fait partie de ceux et celles qui ont révolutionné nos menus au Québec, a créé émoi et surprise sur le plateau lorsque Martin et Stefano ont annoncé sa présence comme juge invitée. La participante Désirée n'a pas pu retenir ses larmes de voir son idole en personne.

«C'est elle qui m'a appris à devenir instinctive en cuisine!», a-t-elle lancé. Ce moment a également marqué Mme di Stasio. «Ce fut très émouvant pour moi aussi! Désirée a suivi mon parcours, et a appris à cuisiner en ma compagnie à la télé et avec les livres. Ç'a également été très émotif quand j'ai goûté à son plat. Je ne m'attendais pas à ça du tout! Comme animatrice, on fait notre travail sans se douter de notre impact, jusqu’à ce qu’on rencontre notre public. Ça vient me chercher de mesurer l’intimité qui s’est créée!» Longtemps animatrice de télé, elle a été émerveillée par le plateau de MasterChef Québec. «J’ai été impressionnée par l’ampleur des moyens déployés, ne serait-ce que le travail de l’équipe technique pour bien suivre chacun des 16 participants.» 

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Une invitation qu’on ne peut refuser!
Josée di Stasio avoue qu’elle n’est pas du genre à courir les émissions de compétition culinaire, mais elle a cependant accepté l’invitation de ses amis Martin et Stefano pour des raisons bien précises. «J’ai accepté d’être de cette deuxième semaine parce que je n’avais pas à éliminer quelqu’un au cours du défi auquel je participais. Je n’aurais pas été à l’aise avec ça! C’est sûr qu’au moment de la présentation des plats, je me suis permis d’émettre des commentaires, ne serait-ce que pour améliorer les prochaines prestations des candidats. J’étais plus là à titre d’observatrice. J’ai noté assez vite ceux qui se démarquaient des autres, et cela a éveillé en moi une grande curiosité de savoir comment ils allaient s’améliorer par la suite. Je crois que c’est aussi ça, le but de l’émission: observer les participants pour constater comment ils vont se développer et s’améliorer!» 

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Elle poursuit: «Pendant cette deuxième semaine, on a pu faire plus ample connaissance avec les participants. Il y avait des personnalités plus fortes et d’autres plus réservées. Ce qui m’a aussi grandement étonnée, c’est la rapidité avec laquelle ils doivent décider de ce qu’ils vont cuisiner. Ils n’ont pas une nuit pour réfléchir. Ils doivent se faire une tête très rapidement et gérer le stress. Sans compter qu’ils doivent s’adapter à une cuisine qu’ils ne connaissent pas! On n’a qu’à penser à la mésaventure de Meriem, qui n’arrivait pas à faire fonctionner son siphon pour l’élaboration de son sabayon à l’érable. Elle a dû improviser pour nous présenter quelque chose! Je m’intéresse au goût, à la présentation et à la mise en place. Certains ont un plan de travail impeccable, alors que d’autres, pas du tout. Certains ont aussi acquis plus de techniques culinaires! C’était très intéressant de les voir aller!»      

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Un défi en trois ingrédients
«On a vu les participants être divisés en trois groupes, explique Josée di Stasio. Un groupe devait mettre en valeur l’ingrédient choisi par Stefano, le riz; un autre, celui de Martin, le sirop d’érable; et un troisième, le mien, les épinards. J’ai choisi ce légume, car j’ai un faible pour tout ce qui est vert dans l’assiette! C’était délicat, comme défi, car l’ingrédient vedette devait vraiment être mis en vedette. J’ai noté que certains veulent en faire trop et en mettre plein la vue. Il vaut mieux se restreindre et travailler en finesse! À la fin du défi, personne n’était éliminé. Les gagnants remportaient le privilège de ne pas être mis en danger lors de l’élimination!» conclut Josée Di Stasio avec enthousiasme. 

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