Kanye West affirme qu’il tente de divorcer depuis 2018 et Kim Kardashian réagit

Kanye West a de nouveau fait des siennes sur Twitter, en publiant le mercredi 22 juillet une longue tirade dans laquelle il affirme qu’il tente de divorcer de la mère de ses quatre enfants, Kim Kardashian, depuis 2018. 

«Ils ont essayé de me contredire et de me faire un 51/50 avec deux médecins. J’essaie de divorcer depuis», a-t-il écrit, faisant référence à la loi californienne 5150 qui permet d’interner des individus aux prises avec des troubles de santé mentale présentant un danger pour eux-mêmes ou pour autrui.

Atteint de bipolarité, Kanye West inquiète de nombreux fans et internautes depuis quelques temps. Alors qu’il remet en question sa course à la présidence des États-Unis comme candidat indépendant aux élections 2020 (pour lesquelles il se serait de toute façon inscrit trop tard), le rappeur a publié plusieurs tweets assassins à l’égard de sa femme et de sa belle-famille, écrivant notamment que Kim tentait de l’enfermer et qu’il vivait dans le film d’horreur Get Out. Le rappeur a aussi comparé sa belle-mère, Kris Jenner au dictateur coréen Kim Jong-un, la surnommant « Kris Jong-un». Il a aussi affirmé ne pas vouloir qu’elle approche ses enfants.

Kim Kardashian réagit

Kim Kardashian a rapidement commenté la situation, via une série de stories sur Instagram. La femme d’affaires et vedette de téléréalité a, dans un premier temps, exprimé l’impuissance que vit l’entourage d’une personne aux prises avec un trouble de santé mentale, qui, à moins d’être mineure, ne peut être forcée à aller chercher de l’aide. «Il est une personne brillante, mais complexe, qui vit la pression d’être un artiste et un homme noir, qui a vécu la perte de sa mère et qui doit composer avec la pression et l’isolation causées par son trouble bipolaire», a-t-elle écrit au sujet de son mari, ajoutant que les gens proches de Kanye West savaient que ses paroles ne reflétaient pas toujours ses actions. Elle a aussi demandé au public de faire preuve d'empathie.