La vie de Kevin Costner en 10 photos

Photo : Getty Images

Linda Lavoie

2020-08-11T04:00:00Z
2023-10-12T23:44:54.837Z

Malgré des débuts pénibles (son premier rôle a disparu au montage), l’acteur idéaliste ne tourne jamais le dos à l’adversité. Ce père de sept enfants fait partie des grandes stars, car le succès ne l’a jamais impressionné.

• À lire aussi:
Un documentaire poignant lèvera le voile sur le combat que menait Robin Williams

Publicité

1985 : Nature imprévisible 

Pour son rôle dans Silverado, comme il n’avait pas d’interaction avec ses partenaires, il a communiqué avec la nature. «Je parlais notamment aux collines. Plus tard, j’ai su que ça avait plu aux femmes; j’étais sidéré! On ne peut jamais prévoir la réaction du public.» 

1987 : Au nom de la loi! 

À propos d’Eliot Ness dans The Untouchables: «C’est un homme de loi et de cœur. Mais si on le pousse à bout, sa colère monte à la surface. Ça me ressemble: ne me provoquez pas trop, sinon j’ai moi-même peur de ma réaction!» 

1988 : Parlons sport 

Kevin a une histoire d’amour avec le baseball. Il dit de Bull Durham: «Les meilleurs films de sport ne sont pas à ce sujet. Ce n’est qu’une trame de fond! Il s’agit de gars et de filles qui désirent être ensemble et qui ne savent pas toujours comment s’y prendre.» 

Publicité

1990 : Danse sauvage 

Sa première réalisation, Dances with Wolves, lui a permis de remporter sept Oscars, mais il admet: «Je veux toujours faire un bon film. Ici, je savais que je ne pouvais faire mieux, car je me suis donné à fond. Tant mieux quand ça marche. Mais ce n’est pas toujours le cas.» 

1992 : Fuck les modes! 

«Pour The Bodyguard, quand j’ai choisi Whitney Houston, j’ignorais qu’elle était moins au goût du jour. Mais ça ne me dérangeait pas, car lorsque j’aime quelqu’un ou quelque chose, je les aime même s’ils traversent une mauvaise passe.»  

1996 : L’heure du tee 

Kevin a sauté sur l’occasion de retravailler avec le réalisateur de Bull Durham, Ron Shelton, dans Tin Cup, malgré son piètre score au golf. Il venait de divorcer, et son moral était au plus bas. Pour lui, le tournage représentait la meilleure des thérapies.  

Publicité

2003 : Remonter en selle 

Après la déconfiture de The Postman, en 1997, Kevin a réalisé le western Open Range, qui s’est avéré un succès. «Les westerns sont difficiles à faire. De tout ce qui a été réalisé, je trouve qu’il y a seulement de 10 à 15 bons westerns. Le reste, c’est de la foutaise.» 

2012 : En avant la musique! 

«J’ai été surpris de voir à quel point mon rôle de patriarche en 1860 dans Hatfields & McCoys (pour lequel il a reçu un Emmy) m’a emmené loin. J’ai commencé à faire de la musique qui porte sur le sujet et l’époque. J’ai écrit Famous for Killing Each Other. J’en suis aussi fier que mes films.» 

Publicité

2013 : Père d’acier 

Avant d’entreprendre le rôle du père de Superman dans Man of Steel, Kevin a pris le temps de jouer au papa avec les trois enfants qu’il a eus avec sa deuxième femme. «Je veux que ce soit moi qui leur apprenne les choses importantes de la vie, pas quelqu’un d’autre.» 

2018 : Ranch d’Eden 

Pour expliquer sa participation dans la série Yellowstone, il dit: «Le cowboy est bel et bien vivant! C’est bon pour les gens de savoir qu’il existe encore de beaux endroits comme celui-ci en Amérique, où l’on se sent un peu comme dans le jardin d’Eden.» 

Publicité

Sur le même sujet