Une fête dans un bar tourne au cauchemar pour une policière dans Doute raisonnable

LUNDI 21 H, RADIO-CANADA

Annie Hogue

2024-01-20T11:00:00Z

Une fête dans un bar tourne au cauchemar pour une policière, qui affirme avoir été victime d’une agression sexuelle. Simon Ledoux, des Affaires internes, a besoin de l’expertise du GICCS dans ce dossier et demande la collaboration d’Alice. Croyant pouvoir procéder à une arrestation, il est surpris de voir que sa collègue veut reprendre l’enquête du début.

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Dans la série Doute raisonnable, les enquêtes s’étendent généralement sur deux ou trois épisodes, voire plus. Or cette semaine, l’auteur Pierre-Marc Drouin va dans une nouvelle direction avec une intrigue qui se conclura à la fin de l’épisode et qui met en scène un groupe de policiers ayant fait la fête un peu trop fort. 

Une soirée d’excès 

«L’intrigue concerne une policière nommée Catherine O’Connor. Durant une intervention, elle sauve la vie d’un collègue, et la bande de policiers décide de sortir dans un bar pour fêter ça. Ils veulent souligner le geste héroïque de Catherine, mais boivent beaucoup trop. C’est le genre de fête où les participants finissent par aller vomir dans la salle de bains. La plus amochée, c’est Catherine, à qui tout le monde a payé à boire pendant la soirée. Elle a tellement bu qu’elle perd connaissance. Lorsqu’elle se réveille, elle est dans la voiture d’un collègue, et il est en train de l’agresser», raconte Pierre-Marc Drouin. 

L’histoire de la soirée et de l’agression est rapportée au patron de l’équipe. Celui-ci s’empresse de transmettre les informations aux Affaires internes, qui ouvrent une enquête. Simon Ledoux est responsable de ce dossier. «Il demande la collaboration du GICCS, qui a une expertise dans les cas d’agressions sexuelles», souligne l’auteur. Alice et Fred l’assistent donc dans l’enquête. Quant à Charline, elle doit se tenir à l’écart, car elle connaît certains des policiers impliqués. Puisqu’il s’agit d’une affaire délicate, il faut éviter tout conflit d’intérêts. Charline poursuit donc son enquête sur les joggeuses agressées dans un parc. 

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Une vision étroite 

Dans ses enquêtes, Alice part toujours du principe que la personne qui vient la voir pour dénoncer une agression dit la vérité. Catherine O’Connor a déjà identifié son agresseur, un dénommé Vitali Melnyk. Quand Simon Ledoux demande la collaboration du GICCS, il pense que c’est une pure formalité, car il se croit prêt à porter des accusations contre le suspect. «Ledoux procède à son enquête de façon très malhabile. Il a une vision étroite de la situation et a décidé que Vitali Melnyk était coupable sans même l’interroger. Il s’est contenté de chercher des preuves pour l’accuser. Alice décide de tout reprendre depuis le début et de faire les choses dans l’ordre où elles auraient dû être faites, ce qui cause des tensions entre Fred, Ledoux et elle», mentionne Pierre-Marc Drouin. «Le terme qui résume bien cet épisode est «présomption d’innocence», puisque c’est une notion qui prend beaucoup de place dans cette intrigue», ajoute l’auteur. 

Un problème à régler 

Depuis qu’il a surpris Alice dans ses activités de cam girl, Fred ressent un gros malaise. La jeune femme a trouvé une excuse pour expliquer sa présence sur ce genre de site, et son collègue a tendance à la croire. Il promet à Alice de garder son secret et de détruire les preuves sur son ordinateur, tant pour la protéger que par crainte d’être considéré comme complice de ses activités. 

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Cela dit, Fred a des remords. Cette promesse lui pèse lourd, et il ne peut s’empêcher de discuter de la situation avec le commandant Dorcely, en s’assurant qu’Alice n’est pas au courant. Dorcely comprend que les agissements d’Alice peuvent devenir un problème pour tout le monde. Il prend une importante décision qui causera une commotion dans l’équipe. 

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