Voici de quelle façon la maternité a changé Léane Labrèche-Dor

Samuel Pradier

2022-08-14T11:10:00Z

Même si elle fait partie d’une famille célèbre et populaire, Léane Labrèche-Dor a travaillé fort pour se faire un prénom dans le milieu, que ce soit au théâtre, à la télé ou au cinéma. Maman du petit Milo, elle file aujourd’hui le parfait amour avec Mickaël Gouin. Mais la comédienne de 34 ans a encore beaucoup de petits secrets, dont certains qu’elle a accepté de nous dévoiler.

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7 vérités sur Léane Labrèche-Dor :  

Valerie Blum/TVA Publications
Valerie Blum/TVA Publications

 

1- ENFANT, JE RÊVAIS DES OLYMPIQUES

Je faisais beaucoup de gymnastique artistique quand j’étais plus jeune et je rêvais de pouvoir participer un jour aux Jeux olympiques. Je devais certainement être influencée par le succès de Nadia Comaneci. Je ne sais plus pourquoi j’avais voulu faire ce sport, parce que j’ai commencé très jeune, mais j’aimais beaucoup le fait d’être seule avec moi-même. J’aime beaucoup les sports d’équipe, mais en gymnastique artistique, je me disais que si je mettais les efforts nécessaires, j’allais voir les résultats directement. Je ne pouvais décevoir personne, donc j’étais en compétition constante avec moi-même et j’aimais beaucoup ça. Ça m’a appris beaucoup de choses sur la rigueur et la persévérance. En plus, l’image qu’on a des coachs de gymnastique un peu intransigeants est quand même vraie. Tu tombes, mais tu te relèves et tu réessaies jusqu’à ce que tu y arrives. 

2- J’AI ÉTÉ FROMAGÈRE D’UN JOUR

J’ai commencé par être gardienne vers l’âge de 13 ans, mais ça n’a pas duré longtemps. Je n’avais pas tant de fun à faire ça; avoir la responsabilité des enfants des autres me stressait. Par contre, la restauration est un milieu qui m’a toujours intéressée. Vers 14 ans, j’ai travaillé à L’échoppe des fromages, à Saint-Lambert. Je voulais faire le service aux tables, mais comme je n’avais pas 18 ans, ce n’était pas possible. Ils m’ont donc mis au comptoir des fromages, mais ça ne fonctionnait pas vraiment. Non seulement je n’en mangeais pas, mais ça ne m’intéressait pas. J’étais de très mauvais conseil. Je n’étais pas une bonne fromagère et je pense n’y avoir travaillé que 24 heures, pas plus! Après ça, j’ai été caissière dans une épicerie et, à l’âge de 17 ans, j’ai eu une job comme hôtesse dans un restaurant. J’ai ensuite beaucoup travaillé en restauration, c’était comme un jeu pour moi. J’étais bonne et efficace.

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3- J’AI EU UNE ADOLESCENCE STUDIEUSE

Je n’avais pas trop d’intérêt pour les garçons à l’adolescence, sauf pour un seul. Tout mon amour était dédié à Leonardo DiCaprio depuis la sortie du film Titanic, et aucun gars n’allait pouvoir me l’enlever de la tête. Mais j’étais surtout une fille très studieuse. J’aimais beaucoup aller à l’école, contrairement à plein de gens. La rigueur de la gymnastique a certainement forgé ce caractère. J’aimais beaucoup avoir des bonnes notes à l’école. Je tripais vraiment beaucoup à faire les examens, j’étais une sorte d’Hermione Granger. J’étais très axée sur les études, avant qu’il y ait un revirement complet au cégep. 

4- LA MATERNITÉ M’A PERMIS DE DIRE NON

Le fait d’avoir un enfant m’a fait entamer certains processus que je visais depuis toujours, comme le lâcher-prise et la capacité de dire non. C’est quelque chose qui a toujours été un grand problème chez moi et un grand débat intérieur. J’ai souvent dit oui pour faire plaisir, pour aider, pour rendre service... J’ai souvent été trop gentille. Avec un enfant, les priorités changent complètement, et ça avait même déjà un peu commencé durant la grossesse. Finalement, il n’y a réellement plus rien d’aussi important dans ma vie que mon enfant. C’est un peu cliché, mais c’est la réalité. C’est difficile pour une femme, car il y a quand même toujours l’envie d’être aussi autre chose qu’une maman. Mais j’ai fait le choix de la maternité sans compromis et j’ai envie d’y aller à fond, de saisir cette opportunité pour devenir une meilleure personne. Ça m’a fait beaucoup de bien, comme de remettre en perspective des relations qui n’étaient pas complètement saines ou de m’indiquer des projets qui n’étaient pas complètement pour moi. Ça m’a permis d’apprendre à dire non.

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5- MICKAËL A D’ABORD ÉTÉ UN AMI

Bon, je l’ai toujours trouvé vraiment beau, mais on a été des amis pendant longtemps avant de sortir ensemble. Cette relation amicale, avant la relation amoureuse, nous a permis de nous connaître parfaitement et de voir que, finalement, nous nous ressemblons beaucoup. C’était important pour moi de faire un enfant avec quelqu’un qui, d’abord, en avait envie, ce qui était le cas. Ça lui tentait beaucoup. Et je vois dans sa relation avec les enfants, et avec les gens en général, que c’est vraiment quelqu’un d’aimant et de généreux. Je me suis toujours dit que, peu importe ce qui m’arrive dans la vie ou ce qui arrive dans notre couple, ce sera toujours un père incroyable. 

6- OGUNQUIT EST SYNONYME DE FAMILLE POUR MOI

Quand j’étais jeune, on partait une à deux fois par année à Ogunquit en famille, souvent avec des familles d’amis. On se louait des petites maisons en gang, et ce sont vraiment de très bons souvenirs. C’était avec des couples d’amis de mes parents qui avaient aussi des enfants. On a tous grandi en même temps. On continue à avoir des relations avec certains, et puis il y a des gens, comme la famille de Bernard Fortin, qui sont très proches. Je vois régulièrement Virginie et sa sœur, Carole. Je rêve d’ailleurs d’amener mon fils à Ogunquit en famille. Avec Mickaël, ça faisait deux ans qu’on était ensemble et on y est allés en vacances avec mon père et sa blonde. Il a pu vivre un peu de ces souvenirs, et je pense qu’il a été séduit par le charme de cette région. 

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7- JE CROIS AU DESTIN

Je ne pense pas que toute notre vie est tracée d’avance et qu’on n’a aucun choix à faire. Je crois que l’âme et la conscience humaines sont faites pour faire des choix, mais je pense quand même qu’il y a une colonne vertébrale de notre vie déjà programmée. J’ai souvent pensé au destin comme à une feuille d’arbre, avec une veine centrale et plein d’options possibles qui partent de là. J’ai l’impression qu’il y a plein d’options déjà tracées pour nous par des legs, des histoires familiales, et il faut faire notre chemin là-dedans. Il y a autant de concret que d’immatériel dans tout ça. Comme je suis née femme, blanche, en Amérique du Nord, il y a des chemins qui s’ouvrent à moi, mais qui ne sont pas ouverts à quelqu’un d’autre. Ensuite, il y a des énergies qui nous font évoluer d’une manière ou d’une autre.

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