«On a des élèves qui saignent du nez parce que la qualité de l'air est un peu difficile»

Deux jours de canicule ont été suffisants pour faire suer les professeurs du grand Montréal. Entrevue avec Simon Bucci-Wheaton , enseignant au primaire et auteur, ainsi qu’avec Mme Geneviève* (nom fictif), enseignante de secondaire 1 sur la Rive-Sud de Montréal

2024-06-06T17:58:40.741Z
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