DPJ : «On ne peut pas demander à l'État qui t'a pris ton enfant de se réviser elle-même!»

Nouvelle choc la semaine dernière : on apprenait que la DPJ de la Mauricie-et-du-Centre-du-Québec aurait violé les droits de dizaines d’enfants en les plaçant précipitamment en banque mixte en vue d’adoption, révèle un document interne de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) obtenu par La Presse. Le ministre Lionel Carmant a placé cette DPJ sous tutelle, mais ce dossier continue de faire des vagues. Entrevue avec Me Mylène Leblanc, avocate en droit de la jeunesse

2024-10-18T14:43:45.038Z
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