Elisabeth Rioux sort et défend son entreprise Hoaka Swimwear
Rosalie Simard
Elisabeth Rioux a passé sa journée d’anniversaire à défendre son entreprise, Hoaka Swimwear, en réponse à des allégations concernant les pratiques au sein de la compagnie.
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C’est à la suite d’une vente d’entrepôt l’été dernier que des questions ont été soulevées sur Hoaka, la compagnie familiale menée par Elisabeth. À cette vente, les articles étaient payés en argent comptant et les taxes auraient été incluses dans le prix. Toutefois, un article du journal Le Soleil rapportait qu’il y aurait pratique de fraude chez Hoaka, puisqu’aucune trace de taxe ne se trouvait sur les factures de la vente d’entrepôt, alimentant ainsi des rumeurs.
Dans une succession de stories, Elisabeth a mis les choses au clair sur la marche à suivre d’Hoaka Swimwear.
«Tout ce que j’ai à dire est que: Hoaka Swimwear est mon bébé, c’est une entreprise familiale, nous sommes honnêtes, nous créons des emplois, nous payons nos taxes, nous vendons à l’international. Les gens peuvent dire ce qu’ils veulent et partir des rumeurs, mais est-ce qu’il y a une manière d’encourager les entreprises locales plutôt que d’essayer de les mettre à terre avec de fausses allégations?»
Elisabeth a également pris le temps de répondre à l’influenceur Brendan Mikan, qui a commenté la situation en indiquant que «les choses se dévoilaient».
Dans sa foulée de stories, Elisabeth a répondu à ceux qui avaient repris l’histoire en indiquant que c’est pratique courante dans les ventes d’entrepôt de payer en argent comptant, et que «c’est décevant de voir qu’on essaie de nous lancer des roches.».
Elle a également publié le message de l’avocat de sa compagnie.
Voilà qui a le mérite d’être clair.
