Julie Ringuette s'ouvre sur la possibilité d’avoir un troisième enfant

Photo : Bruno Petrozza

Michèle Lemieux

2020-12-06T21:36:09Z

Julie Ringuette et Pascal Morrissette attendaient la venue de la petite Eva seulement le 2 décembre. C’est tout juste avant son accouchement que nous avons eu la chance de rencontrer la maman qui avait souligné, d’ailleurs, que la petite allait sûrement se pointer le bout du nez avant. En effet, Eva a vu le jour à la mi-novembre.

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Julie, à quel moment ton accouchment est-il prévu?
Le 2 décembre, mais j’ai l’impression que ça va se produire avant ça. Mes sages-femmes m’ont demandé de me calmer. Nous avons déménagé durant la pandémie. Pendant le premier confinement, je visitais des maisons. Ça m’a épuisée. Certains pensaient que ma fatigue était due à l’entraînement, mais ce n’était pas le cas. Pascal travaille beaucoup avant de prendre son congé de paternité, alors, c’est moi qui défais les boîtes et qui aide à bouger des meubles. C’est un grand renouveau. J’ai une nouvelle voiture, une nouvelle maison, j’attends un nouveau bébé: c’est une nouvelle vie. Ça m’apporte beaucoup de lumière. Comme je n’étais pas capable d’avoir un bébé naturellement, Sam a été conçue grâce aux services d’une clinique de fertilité; c’est un bébé qui a été attendu pendant des années. Eva, quant à elle, est une surprise. Je suis tombée en bas de ma chaise. Je pensais que j’étais infertile... 

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Comment se déroule ta grossesse?
Tout va bien. Au troisième mois, j’avais déjà le ventre que j’avais à six mois de grossesse pour Sam. J’ai eu peur d’être enceinte de jumeaux. Ma grand-mère était jumelle. En fait, mon ventre a pris rapidement de l’expansion, puis ça s’est stabilisé. 

Tu voulais connaître le sexe de l’enfant...
À la première échographie, mon chum était au téléphone. On m’a demandé si je voulais connaître le sexe du bébé. Nous étions impatients de le connaître. J’aime les surprises, mais je ne pouvais pas attendre... (sourire)

La famille sera-t-elle complète?
Au début, avec les nausées, j’ai annoncé à Pascal que c’était terminé. Puis, au deuxième trimestre, je me suis ravisée — j’étais prête à avoir trois enfants. Actuellement, c’est mon chum qui est plus réticent. Il faut dire qu’à 38 ans, j’approche de la quarantaine. Ça me ferait beaucoup de peine de fermer la porte à la maternité. Je m’arrête souvent pour profiter de cette grossesse, qui sera peut-être la dernière.      

Julie reprendra ses chroniques à Salut Bonjour après son congé de maternité. Au printemps 2021, elle animera Elle a dit oui, à ELLE Fictions.

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