Émotive, Varda Étienne souligne le départ de son fils du domicile familial
Vanessa Hébert
Varda Étienne s'apprête à vivre une étape à laquelle tous les parents doivent faire face à un moment ou l'autre: voir son enfant quitter la maison.
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Eh oui, même si c'est dans l'ordre des choses et que c'est le but des parents de rendre leurs enfants autonomes, il n'en demeure pas moins qu'il s'agit toujours d'une étape parfois difficile que celle de voir les enfants quitter le domicile familial. Justement, Varda Étienne n'a pas caché ses émotions ambivelantes à ce sujet.
C'est que la mère de trois enfants est sur le point de voir son benjamin, âgé de 19 ans, poursuivre ses études et voler de ses propres ailes... aux États-Unis.
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Sur son compte Instagram, la chroniqueuse à Sucré salé a parlé de la gamme d'émotions à travers laquelle elle navigue présentement: de la fierté au bonheur en passant par l'inquiétude et la tristesse.
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«Dans 2 semaines, mon 2e bébé (19 ans!😉) quittera le nid familial et ira poursuivre ses études universitaires aux États-Unis.
Vous dire à quel point j'suis fière et heureuse pour lui!
Mais couper le cordon, même à 19 ans, même pour les meilleures raisons au monde, c'est vraiment mais VRAIMENT pas évident.😢
J'vais m'ennuyer beaucoup. M'inquiéter beaucoup. Pleurer beaucoup aussi. Des larmes de joie, surtout. Mon fils réalise son rêve de gamin de 4 ans, c'est ÇA l'important! C'est ma consolation de maman. Pis y a l'téléphone, facetime, les textos ect...et l'avion.
Et chaque fois qu'il reviendra à la maison lors des congés scolaires, ce sera la fête! Son père et moi lui ferons aussi des visites surprises et je cacherai dans ma valise ses plats préférés faits maison.
En attendant le grand jour, j'le regarde, j'le colle, j'le flatte. Parce qu'il est et sera toujours, mon bébé. Maman un jour, maman toujours», a-t-elle écrit sous une attendrissante photo en noir et blanc avec son fils.
Le sujet semble avoir touché une corde sensible auprès de ses abonnés, particulièrement les femmes, car de nombreuses mamans ont pris le temps de commenter pour dire qu'elles étaient elles aussi passées par là et qu'elles comprenaient ce qu'elle vivait.
