Hugo Girard révèle les tâches qu'il aime le moins faire durant «Les rénos d'Hugo»

Dès le 1 juillet, Mercredi 19 h 30, TVA

TVA

Marie-Hélène Goulet

2020-06-25T12:00:00Z
2023-10-12T23:42:01.645Z

Cette saison encore, Hugo Girard et son complice Kevin Bruneau unissent leurs forces pour nous offrir Les rénos d’Hugo, l’une de plus sympathiques émissions de rénovation de la province. L’homme fort de la réno nous révèle ce qui le passionne sur le plateau.

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Hugo, dans quel état d’esprit avez-vous tourné la cinquième saison des Rénos d’Hugo?
Nous avons travaillé fort pour que l’émission soit toujours aussi divertissante et pour que le partage de nouvelles informations reste à l’avant-plan. Kevin et moi, nous avons tendance à nous emballer pas mal, mais, cette saison, nous tentons de garder un peu plus notre sérieux. 

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L’émission ne serait pas aussi amusante sans la complicité qui vous unit à l’entrepreneur Kevin Bruneau. Votre relation a-t-elle évolué avec les années?
Entre Kevin et moi, ça a cliqué dès notre première rencontre, puis notre lien a beaucoup évolué. Nous sommes maintenant plus que des collègues de travail: nous sommes de vrais amis. Nous nous téléphonons au moins une fois par semaine, et notre relation est la même à l’écran que dans la vie. Disons que nous aimons nous tirer la pipe! 

Après cinq saisons, qu’est-ce qui vous passionne autant sur le plateau des Rénos d’Hugo?
Premièrement, c’est le plaisir que j’ai pendant le tournage. Je m’amuse tellement que je n’ai même pas l’impression de travailler! Deuxièmement, Les rénos d’Hugo me donne la possibilité d’apprendre et de m’améliorer. Troisièmement, j’aime le fait que depuis le début, nous travaillons fort pour faire évoluer l’émission afin qu’elle reflète parfaitement nos personnalités.

Y a-t-il des tâches que vous aimez moins faire durant les rénovations?
Je n’aime pas devoir m’agenouiller; mes genoux ne l’apprécient pas du tout! Sinon, j’aime toutes les tâches. Toutefois, ce qui me dérange un peu, c’est de me faire pousser dans le dos. Souvent, j’ai envie de faire les choses et je me débrouille pour y arriver, mais comme je ne suis pas aussi rapide qu’un professionnel, je ne peux pas terminer les rénos parce que je ralentirais la production. Je trouve ça frustrant de ne pas être aussi rapide que les autres membres de l’équipe. 

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Avez-vous l’impression de vous être amélioré au fil des ans?
Oui, beaucoup, non seulement en ce qui concerne la réalisation de l’ensemble des travaux de rénovation, mais aussi en tant qu’animateur. J’en suis convaincu!

Comment décririez-vous un bon projet pour Les rénos d’Hugo?
Un bon projet doit rester simple, mais avoir des aspects innovateurs afin que nous puissions présenter de nouveaux produits ou des techniques inusitées. Nous ne voulons pas que toutes les rénovations soient pareilles, sinon ce serait redondant. Il faut aussi que ce soit beau — mais quand nous passons quelque part, le résultat est toujours beau! Ce sont de bons défis, puisque nous travaillons avec des budgets limités. 

Souvent, les participants ont une famille. Comment les enfants réagissent-ils en vous voyant arriver?
Ils sont super contents! Pour eux, c’est comme avoir une mascotte ou un superhéros à la maison.
Ils veulent jouer avec moi! Nous essayons toujours de les inclure dans le projet, en toute sécurité. Les parents restent tout près, alors il n’y a pas de problème. 

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Vous deviez tourner ce printemps la sixième saison des Rénos d’Hugo. Comment le confinement a-t-il influencé le tournage?
Avant le confinement, nous avions commencé deux épisodes que nous n’avons pas pu terminer. Heureusement, nous devrions reprendre les tournages à la fin juin. La distanciation sociale changera nos façons de faire, mais ce défi rendra le tout intéressant. Nous allons trouver une façon de continuer tout en demeurant divertissants. 

Personnellement, comment avez-vous vécu ce printemps particulier?
Pour être honnête, ç’a très bien été pour moi. Ça m’a permis de passer beaucoup de temps avec mon garçon de 15 ans. Nous nous sommes entraînés, nous avons fait des rénos ensemble... Vraiment, c’était magique! Évidemment, sur le plan financier, le confinement n’a pas été un atout, puisque mon gym a dû fermer, mais je suis de ceux qui préfèrent voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide! 

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