Voici la date de retour de Sucré Salé

TVA, LUNDI AU VENDREDI 18 H 30, DÉBUT: 23 MAI

Marie-Eve Leclerc

2022-04-22T10:00:00Z

De retour pour une 21e saison, l'émission estivale nous propose une fois de plus des rencontres avec les artistes préférés du Québec, mais nous fait aussi découvrir de nouveaux visages. Patrice Bélanger, qui en est à sa huitième saison à la barre de Sucré Salé, nous promet un été sous le signe de l'authenticité.

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Patrice, qu’est-ce qui attend les téléspectateurs pour la 21e saison de Sucré salé?
Il y aura assurément des nouveautés cette année. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle l’émission est en ondes depuis 21 ans: on a toujours gardé les éléments populaires, mais avec de petits ajouts intéressants. On ne sait donc jamais à quoi s’attendre. Parmi les invités, on trouvera les chouchous du public ou des vedettes montantes sur le plateau ou en entrevue avec une douzaine de chroniqueurs chevronnés. Un cycle de 20 ans est complété. Nous arrivons à 21 ans, l’âge de la pleine maturité! L’angle qu’on souhaite donner cette année, mon équipe et moi, est celui de l’authenticité. On a envie de faire ce que l’artiste veut vraiment faire. Par exemple, on me parle beaucoup de l’entrevue avec Suzie Villeneuve l’an dernier. On lui avait demandé quel était son rêve, et c’était de chanter avec un orchestre symphonique. On avait réussi à coordonner tout ça. Il y a aussi la fois où on a reçu Régis Labeaume sur le plus haut sommet de la ville de Montréal. Ça amène l’entrevue ailleurs, et c’est ce qu’on a envie d’explorer davantage cette saison. On reçoit près de 250 artistes durant l’été, on peut donc être vite à court de concepts! Notre but avec Sucré salé est de susciter des émotions chez les téléspectateurs, mais il faut d’abord en provoquer chez nos invités. 

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Après huit saisons à la barre de l’émission, comment décririez-vous votre parcours?
J’étais beaucoup plus naïf que je le pensais à l’époque! Heureusement, car je ne réalisais alors pas l’ampleur du défi de chausser les bottes de Guy Jodoin. Ce qui m’importait avant tout, c’était de faire de cette émission la mienne, sans faire un copier-coller de l’animation de Guy. Au fil des ans, je me suis amélioré comme être humain. C’est un privilège de vieillir et d’acquérir de la maturité. Je me suis aussi perfectionné comme animateur, tant dans la qualité de mes questions que dans mon écoute. Rien ne me rend plus heureux que d’être le «porte-parole» de l’équipe de recherche qui travaille dans l’ombre et qui me propose des plans d’entrevues. Ma fierté à moi est de poser des questions non prévues, car ça signifie que j’ai réussi à mettre le doigt sur quelque chose d’unique. Je suis un bon public pour mes invités. Ce que je fais n’est pas un travail, c’est une passion. Je suis encore un fan de ce milieu dans lequel j’ai la chance d’évoluer. Je ne sais pas si je suis devenu un bon animateur, mais je sais que j’ai autant sinon plus de plaisir à piloter l’émission, huit ans plus tard. 

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Finalement, que pouvez-vous nous révéler sur les chroniqueurs de l’émission?
Il est encore tôt pour savoir de qui il s’agit, mais ce que je peux dire, c’est que certains chroniqueurs distinctifs, que vous connaissez, seront de retour. Il y aura aussi de nouveaux visages. Sucré salé est une vitrine pour les chroniqueurs. J’ai moi-même commencé par faire des topos en 2005 et en 2006. Certains artistes amorcent leur carrière avec l’émission. Je pense à Julie Bélanger ou à Gino Chouinard. Bref, cet été, vous verrez de grands talents dans votre téléviseur!

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